Maupiti
Maupiti c'est la petite voisine de Bora. Réputée pour être aussi belle mais plus authentique. "Vous verrez, Maupiti c'est Bora il y a 50 ans" nous disait-on.N'ayant pu caser Maupiti, l'inaccessible, dans notre air pass aérien air Tahiti, j'ai consacré mon budget anniversaire à nous offrir un aller-retour Papeete - Maupiti. Pas de couchsurfeurs à Maupiti, on a donc opté pour une pension un peu plus classe que les précédentes, située sur un motu grâce à l'un de nos sponsors. Premières impressions lors de notre arrivée : c'est vraiment tout petit. "L'aéroport" est minuscule, juste un toit de bois et une balance pour les bagages. Deuxième impression : il pleut. C'est en ciré jaune, tels de véritables pêcheurs Bretons, que nous traversons le lagon en bateau pour rejoindre notre motu. Cette pluie, certes rafraîchissante, mais quand même assez pénible dans un lieu où toutes les activités sont organisée autour du lagon, ne nous quittera pas pendant trois jours. Nous aurons tout de même une belle journée ensoleillée qui nous aura permis de faire deux fois le tour de l'île principale en vélo et de profiter de la superbe plage. Maupiti, ce fut aussi de belles rencontres avec d'autres touristes, deux parties de pêche et des balades accompagnés par notre fidèle Dourga. Moorea Dernière île, dernier couchsurfing en Polynésie. Après la découverte de la petite sœur de Bora, nous voici partis à la découverte de Moorea, la petite sœur de Tahiti. C’est en ferry que nous rejoignons Moorea, après avoir attendu de nombreuses heures au terminal de Tahiti, premier mai oblige. Dès notre arrivée nous louons un scooter et quel scooter, le plus beau depuis le début de notre périple. Nous rejoignons la maison de nos hôtes : Julia, Tehaamana et leur petit Manahau. Cette dernière expérience fut particulièrement riche. Tehaamana, Tahitien et sa compagne (une française qui a fait ses études de logopédie à Liège) nous ont fait découvrir au cours de ces trois jours une autre facette de la culture polynésienne. C’est ainsi que Philippe a appris à décortiquer les noix de coco, à les ouvrir et les râper ! On a également eu la chance de manger un vrai repas traditionnel et de poser toutes les questions qui nous brûlaient les lèvres concernant cette formidable culture. Bref une belle rencontre avec de belles personnes. Notre scooter nous a permis de faire le tour de l’île et d’admirer ses incroyables paysages entre lagons et montagnes et c’est sur la magnifique plage publique que nous avons fait notre dernière baignade dans les eaux turquoises de Polynésie. |
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